Le Dieu Oiseau

Dans Le Dieu Oiseau, on retrouve Faolan, esclave depuis dix ans de Torok, le fils du chef du clan du Bras de Fer. Depuis des siècles, les clans de l'île s'affrontent tous les dix ans à travers une compétition pour déterminer lequel va gouverner. La désignation du vainqueur donne lieu à la cérémonie du "banquet" : une orgie au cours de laquelle les vainqueurs dévorent ou réduisent en esclavage les vaincus.

"Dans Le Dieu Oiseau, l'autrice nous fait voyager dans une fantasy teintée de rudesse et de violence. Elle ne nous épargne donc pas avec ce texte qui écorne au passage bien volontiers notre sensibilité. Elle signe ici un univers inquiétant et assassin. La mort rôde entre ces lignes. Pourtant malgré toute la noirceur de ce livre, il nous passionne d'un bout à l'autre. Aurélie Wellenstein est une plume talentueuse. Elle donne vie à des récits qui nous habitent longtemps après avoir les avoir refermés." (Fantasy à la carte)

"L'auteure nous offre ici un roman original où la violence est quasi omniprésente. Pour autant, et si le cannibalisme ne vous fait pas peur, je vous le conseille car c'est réellement un excellent récit, sombre, dur, sanglant, mais qui, en même temps, m'a beaucoup touchée." (Lady.livre)

"Rien dans ce roman n’est ennuyant. La plume d’Aurélie Wellenstein nous porte à toute allure tout au long du récit. “Le Dieu Oiseau” est donc une belle claque, le genre de livre que l’on ne quitte pas vraiment même après l’avoir refermé." (Évasion littéraire)

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